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Invisibilité ou transparence

 

J’ai ce mérite imbécile de me rendre invisible. Un don qui confine au ridicule. Depuis l’enfance, je m’esquive du bruit du monde. Non pas forcément pour le fuir, mais plus souvent, pour le regarder s’agiter devant moi, sans moi. Ce réflexe enfantin qui consistait à me cacher sous la table ou derrière les rideaux ou dans une quelconque ombre, persiste encore aujourd’hui. Certes, je ne me réfugie plus sous les tables mais j’ai acquis des super pouvoirs qui me rendent, j’en suis certain, transparent !

Reportages Photos

Festival Les Zendurances : découvrir Darius peintre encrier

Festival Les Zendurances : découvrir Darius peintre encrier

Découvrir l'oeuvre de Darius, peintre encrier   Dès les premières marches franchies, il y avait au sol, des traces noires, allongées comme des ombres, qui trônaient au centre de la travée de l'église, démesurément plates et aplaties par l’immensité de l’espace...

Domaine de l’Anqueven

Domaine de l’Anqueven

Reportage photo dans un domaine viticole La mission du reportage a pour objectif de prendre en photo différents lieux du domaine viticole à la fois pour le sublimer au milieu des vignes et également pour donner une image en accord avec les propriétaires. C'est un...

A quoi ressemble le Carnaval de Pézenas 2024

A quoi ressemble le Carnaval de Pézenas 2024

Mardi Gras ! Comme partout sur cette planète Terre où l'on célèbre Mardi Gras, c'est jour de Carnaval. A Pézenas, le Poulain, animal totémique de la ville, déambule dans les ruelles suivi et précédé, entouré et vénéré, par la foule déguisée ou enduite de crème à...

Les mots pour le dire…

Martror – Fête des morts à Pézenas

Martror – Fête des morts à Pézenas

Je rêvai je crois.Mes pensées s’emmêlèrent dans celles des autres.Ce soir de Martror, novembre fut déjà bien entamé par des jours d’une tristesse profonde. Nous vîmes la mort. Dans les ruelles de Pézenas, des âmes défuntes précédèrent des squelettes animés et, sans...

Et je te lèche sur la vitrine, nue, simple, froide, comme morte.

Et je te lèche sur la vitrine, nue, simple, froide, comme morte.

Je vois au travers de ton corps, translucide… diaphane. Je m’enivre à te lécher. J’use ma langue, et en abuse, sur la paroi de verre, lisse. J’ai dans la gorge le goût de toi et celui minéral de la vitrine. Cela descend à l’intérieur de mon corps, lourd, pesant....

Olivier Lebaron Photographies ©

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